Origine du Kobido

Son histoire a démarré il y a cinq cent quarante ans dans une petite auberge près du Mont Fuji lorsque deux des meilleurs maîtres de l’Amma (la toute première forme de massage avant le shiatsu) se sont affrontés autour d’une démonstration de « Kyoku-te », une technique de percussion exécutée la main pliée. À la fin de la compétition qui a duré plusieurs mois, aucun vainqueur n’a été désigné. Les deux maîtres qui se respectaient ont préféré unir leurs talents pour fonder une maison de beauté : la Maison Kobido.

Le massage

Le Kobido se compose de plus de quarante techniques et alterne pressions digitales, percussions et mouvements appliqués sur la nuque, le cou, le décolleté et le visage.

Le Kobido n’est pas la traduction de “massage japonais” mais signifie ”voie de beauté ancestrale”. En réalité, le massage japonais ne porte pas de nom, et les façons de le pratiquer sont multiples.

Les bénéfices

En fluidifiant la circulation énergétique et sanguine du visage et de tout l’organisme, le Kobido permet de libérer les tensions musculaires pour rendre souplesse et élasticité à la peau.

  • En stimulant la microcirculation cutanée et le flux lymphatique, il apporte un meilleur apport nutritif aux cellules il draine les déchets métaboliques, ce qui permet de repulper le visage et d’éclaircir le teint.
  • En relaxant les muscles et en raffermissant les tissus cutanés, il permet de lisser les rides d’expression. 
  • En équilibrant le système nerveux il apporte une relaxation profonde et agit sur les organes par la stimulation de points énergétiques

La formation que j’ai reçue a été dispensée par Océane Cadaux, praticienne diplômée du Dr Shogo Mochizuki, médecin et spécialiste du massage japonais, maître de la vingt-sixième génération de la lignée Kobido.

Myriam Fardel

Rue des Noyers 6, 1966 Ayent, Valais

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